Au détour de l’ article “En mathématiques, les filles restent des inconnues ” publié par Philippe Douroux et Magalie Danican sur Libération, on retrouve cette citation d’Emmanuel Kant, qui prête au mieux à sourire :
«Une femme qui sait le grec est si peu une femme qu’elle pourrait aussi bien avoir une barbe.»
(Observations sur le sentiment du beau et du sublime (1764))
Lire l’article : http://www.liberation.fr/debats/2018/06/21/en-mathematiques-les-filles-restent-des-inconnues_1660876