Sur le blog (en anglais) Antigone, on peut lire un article de Judy Nesbit (qui a enseigné les langues anciennes dans plusieurs pays, et notamment aux Pays-Bas) un peu à contre courant et qui permet de nourrir le débat actuel sur la pédagogique des langues anciennes :
L’introduction donne le ton : le latin est une langue dont l’apprentissage ne peut pas suivre celui d’une langue moderne :
“atin is an ancient language. I don’t like to call it “dead”, but nor do I pretend that it is living in the same way as English or Dutch or Mandarin. This means that the experience of learning Latin – or Classical Greek, or Sanskrit – is fundamentally different from the experience of learning a modern language.”
A ce titre, Mme Nesbit déconseille les méthodes “naturelles” ou “vivantes” qui ne permettraient d’apprendre plus que quelques phrases comme “salvete” ou “quid est? “. Elle rappelle d’ailleurs que :
“Even top Latin scholars cannot usually talk fluently in Latin – and indeed usually prefer not to try.”
Lire l’article complet : https://antigonejournal.com/2021/09/teaching-ancient-modern-languages/