Tag Archives: inscription

TITULUS : le Corpus des inscriptions de la France médiévale

TITULUS est un projet d’épigraphie médiévale numérique élaboré par l’équipe du Corpus des inscriptions de la France médiévale (CIFM) au Centre d’études supérieures de civilisation médiévale (CESCM) de Poitiers. Son but est de proposer une nouvelle diffusion accessible à tous des sources épigraphiques du VIIIe au XVe siècle du territoire français et de nouveaux moyens d’exploitation de ces textes. En …

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The petrified Muse / Quand l’harmonie se désintègre

Une analyse très fine par Peter Kruschwitz de l’épitaphe de Pieris, retrouvée à Salona/Solin en Dalmatia. Le texte, composé d’une introduction suivie de vers en distique élégiaque, décrit la famille de la jeune fille et les liens qui unissent chacun de ses membres. (CIL III 2609 (cf. p. 1032, 1037, 1635) = III 2964 = III 9418 = III 13895 …

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La Toge et le Glaive / Graffitis pompéins : du travail pour les scriptores !

Si certains de ces graffitis étaient l’œuvre de particuliers, la majeure partie était réalisée par des professionnels, les scriptores, qui signaient leur travail. S’ils pouvaient se charger des dédicaces amoureuses, des publicités ou des insultes, ils étaient surtout actifs durant les périodes électorales. Les inscriptions étaient en général simples et directes : elles exhortaient les électeurs à voter pour tel …

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Ashmolean Museum / Des femmes sous l’empire investissaient dans la brique

Reading the Roman historians, you’d be forgiven for thinking there was something just a little bit Game of Thrones about imperial women. If they’re not plotting to advance or avenge a male relative, they might be having dangerous affairs, or bringing their families into disrepute. Because the central thread of the histories told by Suetonius and Tacitus is the succession …

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Brice C Jones / “Achète moi”, la nouvelle interprétation de l’inscription sur un miroir

In 2014, Italian archaeologist Giulia Baratta published a second-third century C.E. Greek inscription on a Roman lead mirror acquired by the Antikensammlung Staatlichen der Museen zu Berlin in 1910. The object is apparently now lost, but a drawing in the inventory remains; the drawing is reproduced here. What the drawing shows is the frame of a mirror-like surface with reflective …

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Armae / Gladiatrice ? Mais si, c’est possible !

La reconstitution historique romaine présente tout de même une petite difficulté… qui est loin d’être aussi facile que cela à régler, si on y réfléchit bien… La société romaine de l’antiquité reléguait les femmes dans des rôles tout de même un peu subalternes. Certes, les femmes pouvaient manoeuvrer plutôt plus librement qu’à d’autres époques, mais c’est assez difficile à mettre …

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The Petrified Muse / La poésie latine et les limites de la médecine romaine

Coming from a literary (rather than an epigraphical) perspective, there is a view that doctors and medical personnel in general, if not the subject of mourning themselves, tend to get a rough deal in Latin epigrams (see e. g. Schatzmann’s comment on scoptic epigrams here [text in German]). This view is furthered by sentiments such as the elder Pliny’s famous …

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Des blagues sur des boulets romains

Ancient Greek and Roman soldiers were real jerks. As if commanding massive empires, and forcing things like toga parties and trigonometry on the rest of the world wasn’t bad enough, Greeks and Romans liked to insult their enemies by writing sarcastic jokes on their lead bullets. Here’s the story. Back when slingshots were a weapon of choice, Greeks and Romans …

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Cambridge : fortes injonctions en latin et en grec ancien

A Cambridge, non loin de l’Université, on trouve des injonctions en latin et en grec… Cambridge University classicists may not seem like typical rule-breakers. But the owners of this building were seemingly so perturbed by the number of bikes left chained to the railings by students that they have erected an angry sign in ancient Greek and Latin. The notice …

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Epitaphe de Margarita, petit chien gaulois

The inscription on this marble plaque, which is preserved and on display in the British Museum in London (CIL VI 29896 cf. p. 3734 = CLE 1175; for the entry in the BM online database follow this link), reads as follows: Gallia me genuit, nomen mihi divitis undae concha dedit, formae nominis aptus honos. docta per incertas audax discurrere silvas …

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DIIS MANIBVS SACRVM : lire des inscriptions funéraires en lecture dynamique

Durant cette séquence les élèves se servent d’une lecture dynamique et inductive pour lire quatre épitaphes. En efet, l’afchage progressif des mots (et même parfois des lettres) leur permet d’émettre des hypothèses qui seront ensuite confrmées ou infrmées. La reprise de mêmes structures au fl des inscriptions leur donne l’occasion de devenir de plus en plus sûrs de leurs hypothèses. …

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Comment les Romains donnaient-ils l’année (la date) avant l’invention du « avant/après Jésus-Christ » ?

For those of us who’ve grown up describing years as BC and AD, it can be hard to imagine doing it any other way. But describing a date as Before Christ or Anno Domini is based on a Christian tradition that began in the 6th century. So what did the Roman use before then? ● A lire sur : http://www.ashmolean.org/

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