Prat’hic #27 : Le latin, un tremplin : ces personnalités ont fait du latin et ont fait le bon choix, elles vous disent pourquoi

Vos pratiques sont fantastiques ! Et vos élèves aussi ! Régulièrement, ATC donne la parole à des enseignants pour qu’ils nous fassent découvrir une activité menée en cours de langues anciennes. Aujourd’hui, Agathe Langlet, qui enseigne au lycée à Arras dans l’académie de Lille, nous présente un projet indispensable pour la promotion du latin, et qu’il est impératif de partager !

Grâce aux élèves du lycée Guy Mollet, allons à la rencontre de personnalités qui ont toutes en commun d’avoir fait du latin. Interrogées sur leur métier, leur parcours et l’apport du latin dans leurs vies professionnelle comme personnelle, leur message se résume en une image : “le latin comme tremplin” _ titre que les élèves ont gardé pour l’exposition des affiches retraçant ces différentes interviews.

Exposition Le Latin comme tremplin

 

En Bref

Bonjour Agathe Langlet, pouvez-vous nous présenter en quelques mots l’activité “Le latin, un tremplin”  ?

Les élèves ont réalisé une exposition destinée à mettre à mal un certain nombre de clichés sur le latin ; pour cela, ils se sont interrogés sur les liens entre orientation et latin, et ont recherché des personnes, anciens latinistes, qui ont tiré profit de cet apprentissage dans leur vie professionnelle de façon évidente (archéologue, médecin…) ou alors même qu’ils exercent des métiers plus éloignés, au premier abord, des langues et cultures de l’Antiquité (présentateur télé, chef d’entreprise…). Ils ont rédigé des questionnaires, fait des recherches qui ont nourri leur réflexion sur leur propre orientation, interviewé les personnes sélectionnées et en ont tiré des affiches retraçant ces échanges qu’ils ont enfin présentées à des collégiens. 

Avec quelle classe l’avez-vous menée ? 

L’ensemble des latinistes du Lycée Guy Mollet (Arras) a été partie prenante. Lorsque les interviewés ont pu faire le déplacement et venir témoigner dans l’établissement, des élèves non-latinistes du lycée intéressés par le métier présenté étaient également invités à venir écouter les échanges, sur la base du volontariat.

Les 2ndes latinistes se sont chargés de la partie « orientation ».

L’exposition est avant tout destinée aux 3e (et éventuellement aux 6e) et circule actuellement dans les collèges des bassins de recrutement du lycée. 

Rencontre avec Nagui

 

Aux origines du projet

Rencontre avec Philippe Charlier

Quelle est la genèse de ce projet ? 

Fréquemment, les enseignants de lettres classiques mettent en avant auprès de leurs élèves l’intérêt du choix de l’option latin en termes d’orientation : l’objectif était de passer des paroles aux actes, en s’appuyant sur des témoignages d’anciens latinistes et en s’efforçant de lutter contre un certain nombre d’idées reçues qui reviennent trop souvent lorsqu’on évoque les langues anciennes.

Ce projet vise donc à lutter contre les stéréotypes fallacieux associés à la discipline (le latin est une option qui ne saurait d’être aucune utilité pour le postbac, sauf si l’on veut enseigner cette discipline, ou qui ne serait utile que pour certaines études scientifiques comme médecine ou pharmacie) en montrant, d’abord, que le latin est un sérieux atout pour des cursus variés : médecine certes, mais aussi droit, histoire, langues, journalisme, métiers du spectacle…

Rencontre avec Marie Cheniti

De plus, par-delà l’apport réel dans la vie professionnelle, c’est une option qui développe la curiosité, le goût à l’effort ; l’étude des langues et cultures de l’Antiquité permet d’accroître la culture générale et la maîtrise de la langue, de gagner en rigueur et de mieux connaître des civilisations qui sont aux origines du monde occidental.

Aussi, l’objectif était de montrer que l’apport ne vaut pas que pour la vie professionnelle, mais également pour le développement et la construction de l’individu et du futur citoyen qu’est chaque lycéen.

Enfin, c’est une discipline qui peut plaire à tous, et le projet s’efforce de proposer des profils variés.

 

Quels objectifs vous étiez vous donnés ?

Le but était que les élèves portent un autre regard sur leur option, qu’ils prennent conscience davantage encore de tout ce qu’elle pouvait leur apporter, en termes d’orientation, de culture générale, de rigueur, de maîtrise de la langue…

Au Sénat

L’objectif était également que les élèves progressent en maîtrise de la langue, à l’écrit, par la rédaction des questionnaires et des affiches, comme à l’oral, grâce aux interviews.

Enfin, l’idée était de faire réfléchir les élèves à leur orientation : ceux qui avaient déjà une idée de leur projet ont pu interroger des professionnels et se renseigner sur leurs études, leurs parcours, les compétences attendues dans leur métier, la réalité de celui-ci… ; les autres ont pu découvrir des métiers, des études, des parcours… inspirants.

 

Faber fit fabricando

Les élèves en plein travail de rédaction

Qu’ont-eu à faire les élèves avant l’activité ?  

Les élèves ont commencé à s’interroger sur les métiers pour lequel le latin pouvait être utile, les professions que l’on associe le plus communément à cette discipline. Puis, ils se sont demandé si d’autres métiers ne pouvaient pas également tirer profit de cette option. Ils ont ensuite cherché des personnes susceptibles de bien vouloir répondre à leurs questions. Je leur ai soumis certains noms, comme Antoine Le Gentil, avocat à Arras, avec lequel j’avais déjà travaillé précédemment dans le cadre de projets sur la Justice ; un élève dont les parents sont archéologues a proposé le nom de Philippe Charlier ; des collègues et personnels de Direction ont également fait profiter aux élèves de leur carnet d’adresses ; la Fondation Egalité des Chances qui soutient le projet a facilité certaines rencontres, notamment celle avec l’Académicienne Nicole Bériou. Les optionnaires ont ensuite contacté ces personnes de différentes manières : une lettre pour la sénatrice, une vidéo pour Nagui (https://youtu.be/rodDG1afUjU)… Nous n’avons (presque !) eu que des réponses positives.

Ensuite, les élèves ont fait des recherches et se sont renseignés à la fois sur la personnalité de l’interviewé et sur son métier. Enfin, ils ont élaboré des questionnaires personnalisés en vue de l’interview.

 

Qu’ont-eu à faire les élèves pendant l’activité ?

Les élèves ont mené les interviews qu’ils ont pris en note, en s’inspirant des questions qu’ils avaient préparées mais aussi en improvisant parfois, en fonction du déroulé de l’interview.

Recherches sur l’orientation au CDI

Ensuite, par groupe, ils se sont réparti les paragraphes à rédiger : certains se sont concentrés sur le parcours de l’interviewé, d’autres sur la présentation de son métier, les derniers sur le rapport du témoin au latin. Ensuite, l’ensemble des travaux a été rassemblé et les élèves ont sélectionné les meilleurs passages, précisé certaines paroles, en ont synthétisé d’autres en fonction de contraintes précises, à savoir un nombre maximal de mots à ne pas dépasser. Puis, ils ont à nouveau relu l’ensemble et choisi les phrases à mettre en exergue, sous forme de titre ou en les mettant en exergue.

Par ailleurs, encadrés par une COPSY, les élèves de 2nde ont réalisé des recherches sur les professions présentées (études nécessaires, compétences attendues…) qu’ils ont synthétisées dans des fiches accessibles via les QR Codes des affiches.

 

Dans les fauteuils des Académiciens

Quel a été le rôle du professeur pendant l’activité ?  

Le professeur a guidé les élèves, quand il le fallait, dans leurs recherches et l’élaboration des questionnaires. Il a ensuite rassemblé les divers travaux au sein des affiches. 

 

Quelle implication des élèves ? 

Les élèves ont tout de suite été enthousiastes à l’idée d’interroger des personnes, en particulier célèbres, et de pouvoir afficher leur travail. Ils n’ont pas ménagé leurs efforts pour bien faire, que ce soit lors des interviews ou des phases de rédaction. Le projet a été fédérateur pour chaque classe.

Vernissage de l’exposition “Le latin, un tremplin”

Les activités complémentaires proposées lorsque la rencontre avait lieu à Paris, que ce soit la visite du Louvre, du Sénat, de l’Académie Française ou encore l’enregistrement d’une émission de télévision ont également été fortement appréciées.

Enfin, ils ont aimé présenter leur travail (la démarche, les étapes, les objectifs et finalement les différentes affiches) à leurs parents lors de l’inauguration de l’exposition au sein de l’établissement, aux parents des futurs 3e lors des Portes Ouvertes de l’établissement, et enfin aux 3e latinistes du collège Marie Curie venus découvrir le travail de leurs aînés.

 

On fait le bilan

Rencontre avec Me Le Gentil

Quel est le ressenti du professeur ? des élèves ?

Le projet a été une merveilleuse expérience professionnelle. Nous avons vécu des moments forts qui font oublier l’aspect chronophage de l’organisation !

Quel est l’apport, selon vous, pour les élèves ?

La meilleure preuve de l’apport de ce projet tient dans les propos que les latinistes ont tenus à leurs camarades de 3e : ils ont désormais pleinement conscience de tout ce que peut leur apporter cette discipline et sont devenus de véritables ambassadeurs de cette matière !

 

Rencontre avec Brice Lopez

Y-a-t-il eu des difficultés, des surprises ?

Nous n’avons eu que trois propositions sans réponse, donc peu de frustrations. Les surprises ont plutôt été de bonnes surprises : l’investissement immédiat des élèves, les progrès réalisés à l’écrit (les premières affiches ont demandé du temps de rédaction et de réécriture ; les dernières étaient presque parfaites dès le premier jet), le fait que certaines personnalités a priori inaccessibles acceptent bien volontiers de répondre aux élèves, et enfin, le fait que la défense du latin suscite spontanément un engouement général et solidaire chez les interviewés !

 

Pensez-vous mener cette activité à nouveau ?

Le projet est amené à se poursuivre dans les années qui viennent, au fil des rencontres, des opportunités, des propositions des élèves, de la découverte de nouveaux profils intéressants…

 

Les élèves ont la parole

À la présentation du projet, je l’ai trouvé très intéressant car j’ai parfois eu un faible répondant lorsqu’on me disait que le latin ne servait pas à grand-chose malgré le fait que je savais très bien que cela était faux. Alors je me suis dit, à plusieurs, même des petites classes de latinistes pouvaient changer l’avis des gens sur cette discipline.

J’étais convaincue que l’idée de faire une exposition avec des affiches composées de témoignages de personnes de divers horizons pouvait changer beaucoup sur la vision qu’ont les gens sur le latin.

Savoir que nous allions rencontrer des personnes de différents métiers était très motivant, parfois même surréaliste. J’avais hâte à chaque rencontre.

Je pense que chacun de nous a dû se sentir unique, privilégié et chanceux durant ce projet riche en découvertes.

Nous avons fait des rencontres que l’on n’aurait jamais pensé faire et que nous ne risquons pas d’oublier.

Nous avons eu des avis de personnes de différents métiers et finalement, une conclusion semblable : le latin apporte énormément.

Parfois, questionner les interviewés était un peu stressant mais ils répondaient toujours avec bienveillance et les réponses étaient très enrichissantes.

Les témoignages m’ont montré que j’avais fait le bon choix. Dans tous les métiers, le latin peut aider et faire la différence.

À chaque fois que j’entendais les différentes personnes parler de leur rapport au latin, j’étais contente d’avoir choisi de faire du latin et même fière.

On a vécu des expériences et des journées inoubliables durant ce projet, comme la journée à Paris où nous avons eu la chance de visiter le Sénat et même d’assister aux questions au gouvernement par les sénateurs. C’était impressionnant.

Le moment qui m’a beaucoup marqué est celui où nous avons rencontré Nagui et même assisté à des émissions de N’OUBLIEZ PAS LES PAROLES. On a appris que le latin lui servait toujours que ce soit dans la vie professionnelle ou personnelle. Il enrichit notre culture personnelle, notre niveau de langue, notre capacité d’analyse…

Ce projet nous a appris de nombreuses choses, pas seulement sur le latin, mais aussi sur de nombreux métiers, allant de présentateur télé à archéo-anthropologue. En effet, il y a des métiers que l’on connaissait de nom, mais pouvoir parler de vive voix et poser des questions à ceux qui les exerçaient nous a permis de mieux connaître ou parfois découvrir ces métiers : à travers des anecdotes, des explications de journées types, ou encore de leurs tâches à remplir qu’ils nous ont expliquées volontiers.

Cela m’a rendue fière d’avoir continué le latin et donné, bien évidemment, envie de le poursuivre.

J’étais contente de voir l’exposition de ces jolies affiches, un beau résultat de notre travail collectif.

(COLINE)

 

Mon avis sur ce long projet est très positif. Il est vrai qu’au début, j’étais assez mitigée à l’idée de pouvoir stopper les préjugés liés au latin car comme on le sait c’est une option très critiquée. Mais j’avoue que quand la professeure nous a annoncé que Nagui avait répondu à notre vidéo, je me suis dit : “il est vraiment pas mal ce projet en fait !”. Puis tout s’est enchainé très vite, nous avons rencontré des personnes toutes aussi importantes les unes que les autres, avec des métiers et des passions toutes intéressantes. (…)

Tous ces moments étaient agréables et marquants, notamment la rencontre avec M Charlier qui a renforcé l’envie de travailler dans l’archéologie que j’ai depuis des années.

Toutes ces rencontres, toutes ces sorties m’ont apportées du bonheur et de très bons souvenirs.

(LISON)

 

Cette année, avoir choisi l’option Latin nous a permis de nous lancer dans un projet fou : interviewer différentes personnes afin de recueillir leur témoignage concernant leur rapport au latin et la façon dont cet enseignement leur est toujours utile dans leur vie professionnelle.

Ces témoignages nous ont permis de casser les clichés et préjugés concernant cet apprentissage. Alors nous tous, élèves latinistes de Guy Mollet accompagnés de Mme Langlet, nous sommes lancés dans la rédaction de questions et la réalisation de vidéo afin de convaincre nos interviewés de participer à notre projet.

C’est une grande fierté pour nous d’avoir pu rencontrer toutes ces personnes, avec lesquelles nous nous sentions liés grâce au latin. Pour moi c’était un véritable « coup de boost » de recueillir tous ces avis positifs et cela me donne encore plus envie d’en apprendre plus sur la civilisation romaine et l’origine de notre langue finalement. D’un point de vue professionnel, notre rencontre avec Philippe Charlier est celle qui m’a le plus intéressée et m’a davantage confortée dans mes choix d’orientation.

En plus des rencontres, il nous a été possible de nous rendre plusieurs fois à Paris et de visiter certains lieux inoubliables tels que le plateau de « N’oubliez Pas Les Paroles » ou encore le Sénat.

Ce qu’il faut retenir de cette aventure, c’est que tous nos interviewés ont tiré profit du latin et gardent un très bon souvenir de leurs années d’apprentissage, alors cela m’encourage encore plus à continuer d’apprendre le latin !

(LENA)

 

Le projet m’a donné envie dès le départ : je trouvais l’idée géniale car c’était amusant pour nous mais aussi instructif. Et je ne me suis pas trompée ! J’ai passé de supers moments avec certains intervenants et j’ai adoré pouvoir aller à Paris.

Quand nous avons pu présenter notre travail à nos familles et aux portes ouvertes, cela m’a rempli d’une sensation de bonheur et de fierté qui a effacé tout le travail que cela a demandé. Et je ressens la même chose quand je sais que notre exposition voyage dans des collèges et lycées, même à Milan ! Je garderai de ce projet des souvenirs excellents.

(SOPHIA)

 

Cela a changé positivement mon avis sur le latin ; l’orientation des personnes ayant fait du latin m’a assez surpris pour certaines d’entre elles : je ne savais pas que l’on pouvait tout cela en ayant fait du latin !

(MILAN)

 

Au début, quand la professeure nous a présenté le projet, je me suis dit : « super ! On va pouvoir rencontrer des personnes plus ou moins connues qui ont fait du latin et aussi montrer aux gens que le latin ne sert pas à rien, qu’il y a beaucoup de préjugés sur cette matière : c’est important que tout le monde se rende compte de ce que le latin peut apporter ».

Puis, en rencontrant ces anciens latinistes, j’ai pu en apprendre davantage sur certains métiers et sur ce que le latin a pu leur apporter. J’ai trouvé toutes les interviews que nous avons faites très intéressantes. Les profils étaient très différents (médecin, présentateur TV, archéologue…) ce qui m’a permis d’apprendre beaucoup de choses très variées.

J’ai beaucoup aimé quand nous nous sommes rendus à « N’oubliez pas les paroles » pour voir Nagui : c’était super d’assister à une de ses émissions et de le rencontrer. Comme il nous l’a dit lors de l’interview, le latin est partout ! Nous employons très souvent des mots latins et le français est basé sur cette langue.

Ensuite j’ai beaucoup aimé le jour où nous sommes allés à Paris pour rencontrer Philippe Charlier. J’ai trouvé son métier très intéressant. J’ai aussi aimé visiter le musée du Quai Branly avec les différentes parties qui correspondent chacune à un continent.

L’exposition que nous avons réalisée avec les affiches était incroyable. C’était une super idée.

Grâce à cette expérience, j’ai pu me rendre compte que le latin pouvait vraiment être très utile dans certains métiers.

Au-delà d’avoir vu ce que pouvait apporter le latin dans ceux-ci, toutes ces visites et expériences m’ont beaucoup apporté culturellement.

J’ai vraiment été contente de participer à ce projet !

(MARGOT)

 

Dès la présentation du projet, j’ai immédiatement été attirée et intriguée par la manière de combattre les préjugés autour de cette discipline transversale. Ce projet m’a convaincue de l’importance de défendre activement l’intérêt du latin. (…)

J’ai découvert différents corps de métier où le latin tient une place essentielle, offrant un avantage déterminant comme dans le domaine de la justice qui m’attire. Ce travail nous a amenés à rencontrer des personnalités locales et nationales. Je trouve que le projet a permis d’ouvrir des portes qui nous semblaient fermées jusque-là. Aussi, nous avons appris à poser des questions à des intervenants. Il était donc nécessaire de bien travailler les sujets et par la suite de bien les retranscrire sur l’affiche pour attiser la curiosité. Globalement, j’ai un avis très positif sur l’initiative qui nous a été proposée. Il n’y a rien qui a pu me déplaire, je l’ai pris comme un challenge. Le moment qui m’a le plus plu ? Je dirais la présentation du projet aux familles. C’était le moment où j’ai pris conscience de nos efforts et du grand potentiel du travail fourni, au point que même d’autres établissements sont intéressés par notre exposition !

J’ai toujours été convaincue de l’importance du latin, j’ai même choisi d’écrire une défense de cette discipline sur ce sujet dans le cadre de la spécialité Humanités Littérature et Philosophie. Mais grâce à ce projet, j’ai pu constater l’omniprésence du latin dans notre vie quotidienne.

(AXELLE)

 

L’exposition

La presse en parle :

Ici :

https://www.lavoixdunord.fr/1291186/article/2023-02-13/arras-des-latinistes-du-lycee-guy-mollet-chez-nagui-pour-defendre-le-latin

Ou ici :

40 minutes inoubliables pour des lycéens d’Arras face à Nagui

 

 

Si vous souhaitez poser des questions à Agathe Langlet, n’hésitez pas à nous contacter, nous les lui ferons suivre.

Si vous souhaitez vous aussi raconter un de vos cours, n’hésitez pas à prendre contact avec nous.

A propos ju wo

Professeur de français et des options FCA et LCA dans l'académie de Lille. Passionnée de cultures antiques et de langues anciennes et attachée à leur rayonnement et à leur promotion dès l'école primaire. Co-responsable du concours ABECEDARIVM pour l’association ATC.

Laisser un commentaire

X