Le philologue Maurizio Bettini livre un véritable plaidoyer pour cette langue dite morte. Parce que nous ne pouvons vivre sans mémoire.
Lire l’article de Christophe Ono-dit-Biot sur lepoint.fr :
Sans le latin, la messe nous emmerde, disait Brassens. Sans le latin, l’être humain aussi, semble renchérir Bettini. Parce que sans le latin – et on ne parle pas du grec ! – l’être humain sera moins imaginatif, moins rebelle, moins ouvert aux autres… Pourquoi ? Lisez-le ! Professeur de philologie classique à l’université de Sienne, Maurizio Bettini est l’un des antiquisants les plus excitants d’aujourd’hui. Déjà auteur d’un « Éloge du polythéisme », il livrait l’année dernière, avec « Contre les racines », une formidable réflexion sur la façon dont se construisent ces fameuses « …