Le projet de réforme des collèges a été adopté le 10 avril par le Conseil supérieur de l’éducation. Le porte-parole du collectif «Langues en colère», Nicolas Foltz, qualifie la d’«erreur pédagogique». Il considère que celle-ci est «de mauvaise foi». Selon lui, la ministre de l’Education nationale affirme que «les langues vivantes vont être favorisées, mais c’est tout le contraire». «C’est la fin du latin, la fin de l’Allemand et aussi le déclassement du collège public», s’est-il exclamé.
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