Pline l’Ancien, au 1er siècle, ne tournait pas autour du pot : pour lui, le yaourt était une affaire de barbares. On voit l’image : des cavaliers nomades parcourant les steppes avec, attachées à la selle, des outres de lait de brebis qui fermente sous les soubresauts… «Il est surprenant que les nations barbares, qui vivent de lait, ignorent ou dédaignent depuis tant de siècles, le mérite du fromage, quoique, d’ailleurs, elles sachent faire prendre le lait pour en former une liqueur d’une acidité agréable et un beurre gras»1, s’étonnait-il.
L’encyclopédiste romain suivait en fait une vieille tradition gréco-romaine, selon laquelle la consom…
Lire l’article complet sur le site de l’association “Nunc est bibendum” : https://nunc.ch/yaourt/?fbclid=IwAR1aw8Hl-OKHwzctS6Lx0dEDYMCmLHGwW_wBpfavxnio4CJ2MVgvKevIKzQ