Alors qu’on nous explique que la mise en place de la réforme se passe bien, que l’engouement est général, dans la presse locale, au détour d’un article en apparence anodin, on peut deviner beaucoup de choses…
Maryline Caron, principale du collège Henri-Wallon de Lanester explique ainsi à propos d’une journée portes-ouvertes :
En 5e, il est proposé le latin, que nous continuons malgré la réforme.
Ce “malgré” est bien lourd de sens…
Lire la suite sur le Télégramme
Le Télégramme fait également remonter la colère des enseignants du collège Jean-Loup-Chrétien de Questembert, qui expliquent une des conséquences de la réforme :
Jean-loup-Chrétien a ainsi décidé de garder le latin, mais ce choix a des conséquences : pas de groupes en sciences ou techno par exemple et la disparition des classes européennes.
Lire la suite sur le Télégramme