Professeur de latin au collège de Mescoat, Maïna Guirriec-Lucas ne voit pas d’un bon oeil la réforme qui s’annonce. Au-delà du devenir de certaines langues et options (dont le latin), elle s’inquiète surtout pour ses élèves.
>Aujourd’hui, le latin est une option que 85 élèves étudient au collège de Mescoat. L’occasion pour Maïna Guirriec-Lucas de dépoussiérer quelques idées reçues et de rappeler que, depuis longtemps, le cours ne se résume plus à un savant dosage de déclinaisons, thèmes et versions. « On part toujours d’un fait de civilisation ou d’histoire, que l’on illustre avec un texte latin. Donc, on va surtout lire du latin avec une grosse approche du vocabulaire. La grammaire viendra ensuite, en soutien, comme un outil de compréhension », explique le professeur.
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