Qui a dit que les langues anciennes n’avaient pas le vent en poupe ? Pas les élèves de la cité scolaire de Saint-Junien, où le taux d’inscrit dans ces matières atteint des records.
C’est entendu, la possibilité d’obtenir des points en plus au baccalauréat a peut-être influencé leur choix. Mais si de nombreux élèves ont décidé, au collège Louise-Michel comme au lycée Paul-Eluard, de se prêter à l’étude du grec et du latin, c’est avant tout par intérêt pour la découverte de langues finalement pas si anciennes que cela.
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