La lecture différente de l’étude de la DEPP par la CNARELA a semble-t-il convaincu plusieurs journalistes, dont Sophie Coignard, qui diffuse l’information dans Le Point :
Une étude d’un ministère montre que le latin agit comme un accélérateur de réussite pour les élèves défavorisés. Une vérité dérangeante ?
Voilà une étude que Najat Vallaud-Belkacem s’est bien gardée de populariser. Réalisée par la très sérieuse direction de l’évaluation, de la prospective et de la performance (DEPP), cette note d’information s’intitule : « Le latin au collège : un choix lié à l’origine sociale et au niveau scolaire des élèves en fin de sixième ». Un titre trompeur, car elle dément en vérité tous les préjugés de la ministre de l’Éducation nationale sur le latin comme discipline réservée à l’élite. Que nous apprend cette étude ? Qu’il y a certes plus d’enfants d’enseignants que d’ouvriers qui choisissent cette option. Mais elle démontre surtout que le latin agit comme un accélérateur d’égalité, puisque son apprentissage aide davantage les élèves issus de milieux défavorisés. En observant le destin de 35 000 jeunes entrés en sixième en 2007, ses deux auteurs ont découvert que le succès aux ex…
Lire l’article de Sophie Coignard sur lepoint.fr
Idem chez Vousnousils :
http://www.vousnousils.fr/2015/12/03/le-latin-facteur-de-mixite-sociale-579870