Ils sont une centaine, ce mercredi soir, rassemblés dans l’un de ces amphithéâtres aveugles en sous-sol dont la Sorbonne a le secret. Professeurs de langues anciennes mais aussi étudiants à l’allure sage, appelés par diverses associations, brandissent des pancartes discrètes pour défendre ce qui leur tient à cœur: l’enseignement du latin et du grec au collège.
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