Bringuebalées de réformes en réformes, pointées du doigt comme matières élitistes, imaginées corsetées dans les récitations de « rosa » et « dominum », les langues anciennes ont la vie dure. Un temps qualifiés de morts, le latin et le grec sont pourtant bien vivants par la grâce d’enseignants, comme Christine Colin, qui castagnent les idées reçues et se démènent pour les porter auprès des nouveaux bataillons de collégiens.
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