En 64 av. J.C. Cicéron se présente aux élections consulaires (c’est pendant ce consulat qu’il aura à lutter contre Catilina). Son frère Quintus lui envoie en vue de cet élection un ensemble de conseils connu sous le nom de commentariolum, (c’est-à-dire un diminutif de commentarium, mémoire, recueil de notes, comme les Commentaires de César), un petit manuel ; petitionis, de candidature, ici de nature électorale devant les comices centuriates.
Lire le dernier billet de Philippe Cibois.