Ne perdons pas notre latin: tel est mon vœu pour cette nouvelle année. Le latin est menacé tant en France qu’à Fribourg où il risque de perdre son statut de branche principale au cycle d’orientation, ce qui serait un premier pas vers sa disparition progressive (cf. «LL» du 3 novembre 2015). Nous sommes face à un véritable enjeu de société qui dépasse largement la sauvegarde d’heures pour des enseignants ou le maintien d’une spécificité cantonale. L’expression «y perdre son latin» signifiant «ne plus rien y comprendre» montre bien ce lien étroit entre le latin et notre présence au monde, voire notre identité. S’attaquer à cette….
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