De même que les musiciens nous font sentir par leur interprétation la partition qui est écrite, de même, les traducteurs nous font ressentir par l’alchimie de la transposition d’une langue à l’autre, la beauté d’une poésie perdue. Y eût-il un César de la traduction, un Oscar de l’interprétation, un Homère de la version française, qu’il reviendrait, j’en suis sûr, à Yannick Durbec pour son petit livre Μουσέων εἵνεκα, Les épigrammes de Posidippe, édition Adolf M. Hakkert, Amsterdam, 2014…
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