Rayon : Bandes dessinées
Texte : WEBER Patrick
Dessin : PASARIN Fernando, Nadia Jigounov
Editeur : Le Lombard
Collection : Polyptyque
Format : 46 pages
Présentation:
Dans l’esprit de la série « polyptique », Les fils de la louve est une histoire à épisodes, qui mèle des histoires dans le passé (dont régulièrement à l’époque romaine) et dans le présent.
Les auteurs ont voulu mélanger histoire, l’histoire de l’art, le fantastique et le thriller : Luca, thésard en histoire de l’art, se rend au musée national de Rome pour y approfondir ses recherches. Un symbole inconnu attire son attention. Après une nuit d’amour, il se retrouve projeté dans la Rome antique et se met rapidement au service d’un sénateur qui s’avère fomenter un complot contre César…
Le premier tome laissait apparaître un dessin assez peu agréable visuellement, plat et froid, qui n’était malheureusement pas réhaussé par de belles couleurs naturelles (ça s’arrange dans la suite de la série !)… heureusement que niveau décor, un effort a été fait, parce que le scénario peine aussi un peu à nous attirer…
Etudiant à la fac de Turin, Luca Marini mène des recherches à Rome sur les symboles du pouvoir dans la sculpture antique. Dans les réserves du musée national, il est d´abord perturbé par une statue mutilée sur laquelle est gravée une gueule de louve serrant un glaive entre les crocs. Croisée dans la rue, une jolie Romaine l´attire irrésistiblement : de plus, elle porte à son coup un pendentif représentant le même motif que celui gravé sur la statue du musé. Après des ébats amoureux passionnés, le jeune Turinois se trouve soudain projeté sur les pavés de Rome à l´époque de Jules César.
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