Pour terminer en douceur cette difficile année 2020, Courrier international vous propose de parler d’amour. Voici le troisième et dernier épisode de notre série vidéo “L’amour dans les langues étrangères”, une série à découvrir pendant les fêtes de fin d’année, en complément de notre numéro 1572 consacré au plus noble des sentiments.
Vidéo 1/3: les surnoms amoureux.
Savez-vous comment on appelle sa moitié en japonais ? Connaissez-vous les sobriquets les plus répandus chez les amoureux en farsi, langue parlée en Iran ? Comment appelleriez-vous votre cher et tendre si vous parliez ukrainien, coréen, allemand ou encore suédois ?
Vidéo 2/3: être amoureux.
Être amoureux, un sentiment indescriptible ? Il existe pourtant, dans toutes les langues du monde, une infinité de mots et expressions pour décrire cette drôle de maladie. Découvrez un échantillon – choisi avec amour – du vocabulaire employé en danois, en arabe, en chinois ou encore en farsi pour décrire le sentiment amoureux.
Vidéo 3/3: ruptures et peines de coeur.
Prendre un râteau, se faire poser un lapin, avoir le cœur en mille morceaux… La langue française regorge de mots et expressions pour dire les peines de cœur. Mais comment décrit-on le mal d’amour dans les langues étrangères ? Partout dans le monde, les ruptures et le chagrin d’amour ont donné lieu à un vocabulaire très riche, souvent un peu moqueur, parfois un tantinet mélodramatique.
On pourra mettre ces vidéos en relation avec les 1000 et 1 façons de désigner l’amour en grec ancien, ou de nommer l’être aimé, à Rome. Et tant qu’à parcourir les ressources plus anciennes du site sur le thème de l’amour, on pourra – entre autres:
– redécouvrir des amours impossibles en réécoutant le mythe d’Echo et Narcisse ou en visionnant Hippolyte et Aricie, l’opéra de Rameau;
– se documenter sur les amours de Cléopâtre.
Si l’on est en recherche de conseils en amour, on fera appel aux services d’Ovide, Love Coach antique; tandis que d’autres préfèreront suivre les conseils beauté de l'”influenceur” antique.
Musicalement parlant, on écoutera la Vénus d’Alain Bashung avec plus d’attention, après avoir relu – sur le carnet de recherches d’Antiquipop – la façon dont il s’est réapproprié la déesse de l’Amour.