La CNARELA et les associations de langues anciennes associées fait une lecture bien différente de l’étude de la DEPP qui avait été présentées comme une preuve de l’élitisme des langues anciennes.
Cette étude, au contraire, met en effet statistiquement en lumière les bénéfices de l’étude du latin, et montre que les
effets positifs de l’apprentissage de cette langue ancienne sont d’autant plus marqués pour les élèves que leur
origine sociale est défavorisée. Loin d’être la dénonciation d’une matière et encore moins d’un élitisme – puisque
93% des établissements scolaires proposaient le latin à la rentrée 2014, cette étude est au contraire un plaidoyer,
mathématiquement étayé, pour le rôle socialement correcteur du latin dans le domaine des inégalités scolaires et
culturelles….
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