“Le principal syndicat des personnels de direction a jugé, jeudi 10 septembre, qu’il était temps de passer à la mise en œuvre de cette réforme, attendue pour 2016.
(…) L’avenir des langues anciennes
« Certains, évoquant l’avenir des langues anciennes, sont allés jusqu’à comparer la réforme du collège à la destruction de Palmyre par Daech », rappelle-t-il.
« Toutes les réformes sont supposées avoir été conçues pour tuer le latin. Il faut croire qu’on a souvent raté la cible, puisque 30 % d’une classe d’âge continue à l’étudier. Il est même probable que leur nombre augmentera », anticipe ce syndicaliste.
Car à l’avenir, l’investissement scolaire exigé sera moins dissuasif qu’aujourd’hui (jusqu’à trois heures de latin et trois heures de grec par semaine en troisième).”…
Lire l’article d’Elsa Doladille sur La Croix