Rentrée scolaire. Le créateur des Dicos d’or était un élève très moyen, grand rêveur et passionné de football.
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Exit la scolarité peu glorieuse. « J’étais loin des habitudes. J’avais trouvé ma voie et je jouais ma vie », analyse-t-il. Un nuage passe à la lecture de la frise qui orne son salon : Vinum bonum laetificat cor Hominis (le bon vin réjouit le cœur de l’homme). « Je n’ai jamais fait de latin, non. C’est l’un des regrets de ma vie »
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