Dans le Point, Sophie Coignard met en évidence les graves négligences et le charabia de la consultation sur les programmes :
“Le problème, c’est que n’importe qui peut en réalité y participer. Il suffit pour cela de fournir une adresse électronique privée. Quelques minutes plus tard, un lien vers les questions est envoyé dans la boîte de réception. Il est donc possible, en créant des adresses différentes, de répondre autant de fois que l’on veut, sans pour autant être le moins du monde enseignant. Certes, les premières questions concernent l’activité enseignante : quel statut, quelle discipline, combien d’années d’exercice… Mais comment la Rue de Grenelle peut-elle se monter assez naïve pour croire que personne ne va mentir sur sa qualité ?”