Sans pitié, le pharaon pour les travailleurs à son service ? Non, la main de fer savait parfois enfiler un gant de velours, selon les travaux d’une anthropologue américaine.
Les maladies mortelles, les blessures, on les connaît. Les archéologues les décèlent en scrutant les os des squelettes ou les momies. Mais qu’en est-il des petites maladies des Egyptiens ? Les rhumes, les grippes, les diarrhées ? Quel était le degré de tolérance de la société égyptienne vis-à-vis de ces affections, mineures certes, mais capables de faucher provisoirement un travailleur ?
Lire l’article de Nicolas Constans dans Le Monde