Menacée d’effondrement, la cité antique italienne bénéficie de subventions européennes qui finiront en 2015. Or la restauration a pris beaucoup de retard.
Est-ce ce léger fard carmin qui a gagné son visage d’albâtre ? Ses fins cheveux que l’on connaissait bruns, et qui tirent dorénavant sur le roux ? Ou bien ce nouvel éclat dans la prunelle, sous le sourcil arqué, qui a transformé son air boudeur d’adolescente en une mélancolie de jeune femme ? Il y a assurément quelque chose de changé sur l’éternelle promise de la grande fresque (3 mètres de haut sur 17 mètres de large) du triclinium (antichambre) de la villa des Mystères, la plus célèbre des demeures de Pompéi.
Lire l’article de Charlotte Chabas dans Le Monde